Les Confidences DOlivier (Récit Au Sujet De Virginie)
Il est des choses parfois qui paraissent inattendus ou impensables comme une confidence
faite de laveux même du propre amant de sa femme. Jamais je naurais imaginé en effet
quun jour Olivier lui-même me dise tout ce quil me dit ce jour concernant ma dulciné,
Virginie.
Cette confidence, il ma la fit un jour où nous prenions un verre ensemble dans un café de
la capitale. Lhistoire qui me relatait se déroulait alors juste avant notre premier
trio, lui, Virginie et moi, cest-à dire quelques mois en arrière.
A linstigation de ma chérie qui mavait beaucoup parlé de lui, je fis sa connaissance en
linvitant à diner un soir juste « entre amis », sans arrières pensées et sans allusions
à une éventuelles relations à trois ce soir-là. Virginie mavait parlé de son envie de
faire un trio avec moi et lui. Dabord choqué et surpris, je finis par accepter et nous
invitâmes alors Olivier pour voir si le courant passait bien entre nous, en particulier
entre lui et moi car avec Virginie il passait effectivement plutôt bien.
Olivier était donc notre hôte. Virginie soccupait de lui, à le recevoir et à lui faire
la conversation tandis que je continuais à préparer le diner. Après un apéro où nous
échangeâmes quelques mots, je compris très vite quOlivier était un homme entreprenant et
nayant pas froid aux yeux. Pas étonnant donc quil sauta ma dulciné en gang-bang chez
elle à la veille de ses 22 ans (cf. récit du premier gang-bang). Mieux que ça : Olivier
était un homme parfaitement à laise qui assumait ses choix et sa vie sexuelle. Il me
confia quil avait eu par le passé une copine dont il était fou amoureux. La belle
lavait quitté à cause justement de son caractère coureur auprès des filles. Il en fut
bouleversé mais sen remis très vite. Aussi, il décida cependant de ne plus sengager
durablement en amour.
Quant à moi, jétais rassuré, me disant ainsi quil ne me la piquerait pas.
Mais le must de la confidence, ce nest pas ça mais plutôt ce qui vient après, que je
vais essayer de vous présenter sous forme de dialogue :
Olivier : « Tu te souviens du premier soir où tu mas invité pour faire connaissance ? »
Bob : « Oui, cétait juste avant notre premier trio avec Virginie. »
Olivier : « Oui, bien, ta chérie, justement, pendant que tu toccupais de faire la
cuisine, elle me branlait sous la table. »
Bob, surpris : « Pardon ? »
Olivier : « Oui, elle me branlait, je te dis. Cétait un jeu entre nous »
Bob : « mais je nai rien vu ! »
Olivier : « normal, cétait son la table. Cétait quand on était assis lun à côté de
lautre, elle et moi, tu te souviens ? »
Bob, un peu bousculé dans ses pensées : « Oui, peut-être. »
Bob se souvenait alors que Virginie sa dulciné était effectivement assise à côté
dOlivier autour de la table de cuisine. Sa chérie qui faisait la discussion à Olivier,
avait un bras posé sur la table avec lequel elle tenait sa tête et lautre glissé sous la
table où elle branlait effectivement Olivier. Bob ne vit rien de tout cela. La soirée
sétait poursuivie autour du repas.
Mais, il y a aussi une autre confidence que je voudrais vous faire part ici dans ce même
récit car sil relate une autre histoire, un autre jour, cette confidence ma été faite
également par Olivier le même jour, à la même terrasse du café parisien. Lhistoire se
déroula cette fois entre notre premier et second trio avec la belle :
Un soir où Bob navait plus de nouvelles de Virginie depuis le début de laprès-midi, il
se rendit chez Olivier pour savoir si ce dernier avait des nouvelles de sa belle. Bob,
auparavant avait appelé Olivier sur son portable mais il était tombé sur sa messagerie.
En arrivant devant chez lui, il sonna mais personne ne vint ouvrir. Il entendit alors du
bruit qui venait de lappartement et chercha alors à y entrer en actionnant la poignée de
la porte dentrée : la porte nétait pas fermée à clé. Bob entra donc dans lappartement
:
- Olivier ? cria Bob.
Pas de réponse.
- Olivier ? répéta-t-il.
Bob entendit alors encore du bruit qui semblait venir de la chambre. Je mavançais en
refermant délicatement la porte dentrée derrière moi :
- Bob ? cest toi ? dit une voix.
La voix, Cétait celle dOlivier. Lhomme était allongé sur son lit, probablement nue
sous sa couette :
- Quest-ce que tu fous ? lui demandais-je.
- Je ne me sens pas bien. Je crois que je suis malade. Je suis resté couché toute
la journée, répondit Olivier à Bob. Et toi quest-ce que tu fais là ? ajouta-t-il.
- Je tai appelé, répondit Bob. Tu nas pas eu mon message ?
- Oh non, tu sais, jai dormi, je nai pas entendu le téléphone sonner.
Olivier, bien évidemment, avait mentit à Bob qui ne savait rien de ce qui se passait ce
jour-là. Ce fut alors la confidence dolivier quelques mois plus tard, au café, qui
révéla le pot aux roses.
- Tu nas pas vu Virginie ? ajouta Bob ce jour-là.
- Virginie ? non je ne lai pas vu, répliqua Olivier. Pourquoi ?
- Elle devait rentrée cette après-midi vers les 16 heures ; je nai pas de
nouvelles delle depuis ce matin. Son téléphone est sur répondeur.
- Ah Ok ! fit Olivier quelque peu gêné.
Il faut dire que Virginie était là dans la chambre avec Olivier avant larrivée de Bob et
quils avaient sans doute passé une partie de la journée ensemble. Ni elle ni Olivier
cependant ne sattendaient à ce que Bob déboule comme ça, à limproviste. Dans la
précipitation, Olivier cacha sa belle Virginie sous la couette de son lit avant que Bob
napparût dans la chambre et saperçoive de sa présence ici.
était en nuisette entrain de sucer le sexe durci de son colosse aux pieds dargile :
Olivier.
- Bon, je vais y aller alors ! ajouta Bob à Olivier. « Désolé pour le dérangement.
»
- Ya pas de souci. Je te tiens au courant si jai des nouvelles, précisa Olivier.
- Ok ça marche, rétorqua Bob.
Durant ce dialogue, Bob ne savait pas que sa belle était planquée sous la couette, près
dOlivier. La belle avait alors dans sa bouche le sexe de son adorateur et délicatement
et continua délicatement à le sucer. Bob était tout prêt et aurait pu tirer brutalement
sur la couette pour dévoiler sa belle en train de sucer Oli. Cependant, il ne le fit pas
car si néanmoins, à cet instant, il eut quelque doute, il préféra ne pas savoir et se
garder de toute certitude.
Oli cependant lui raconta cette histoire et Bob finalement sen était douté :
- Je savais bien quelle était avec toi, avoua-t-il, au café parisien, à Olivier.
Jai deviné les mouvements de sa tête sous la couette.
Oli était surpris que Bob sût cela. Néanmoins, il était soulagé que Bob ne le prît pas
mal. Les deux compères formaient alors avec Virginie un drôle de trio, qui dura dans le
temps encore quelques mois.
Fin de lhistoire.
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